• Cantilène

    CANTILÈNE

    Substantif féminin

    1) Vieilli. Chant parfois opposé comme chant profane au motet, chant religieux.

    Littérature médiévale : Poème lyrico-épique, de forme relativement brève, destiné à la psalmodie publique.

    2) Poème de forme brève, d'inspiration lyrique et aux harmonies douces.

    Par extension : Romance simple et monotone, du ton de la complainte.

    Par métonymie</em /> : Mélodie apparentée à celle de la cantilène.</em />

     


  • Commentaires

    1
    Jeudi 9 Mars 2006 à 13:50
    Vous êtes en couple
    avec Epizut ? Excellent concept en tout cas et comme on dit "Cantilene c'est qu'l'hiver est froid !"
    2
    Jeudi 9 Mars 2006 à 13:55
    Bonjour Chris
    Ravie que le concept vous plaise ! Je n'ai pas la chance de connaître Epizut qui je crois fait de très belles photos, tout comme vous. Je note votre dicton qui m'a bien fait sourire et je me le réserve pour un prochain jeu. A bientôt.
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    3
    Jeudi 9 Mars 2006 à 14:11
    You're welcome
    Permettez que je vous blogrollasse si tant est que cette liste, en ma fictive demeure, fut encore usitée (Ne me rendez surtout pas la pareille il vous en couterait ! ) Arf ! Longtemps que je n'avais pas parlé comme cela, merci :)
    4
    Jeudi 9 Mars 2006 à 14:15
    J'avoue
    que je n'ai pas encore pris le temps de me constituer la fameuse liste. Merci à vous.
    5
    Vendredi 10 Mars 2006 à 13:06
    C'est la chanson
    du mal-aimé qui me vient à l'esprit, même si elle n'est pas de circonstance. B'jour, Mot !
    6
    Vendredi 10 Mars 2006 à 19:11
    Bonsoir Cosmic Dancer
    Que vous inspirera donc le prochain ?
    7
    Mardi 14 Mars 2006 à 14:03
    Mon front pâle est sur tes genoux
    "Mon front pâle est sur tes genoux Que jonchent des débris de roses ; O femme d'automne, aimons-nous Avant le glas des temps moroses ! Oh ! des gestes doux de tes doigts Pour calmer l'ennui qui me hante ! Je rêve à mes aïeux les rois, Mais toi, lève les yeux, et chante. Berce-moi des dolents refrains De ces anciennes cantilènes Où, casqués d'or, les souverains Mouraient aux pieds des châtelaines. Et tandis que ta voix d'enfant, Ressuscitant les épopées sonnera comme un olifant Dans la danse âpre des épées, Je penserai vouloir mourir Parmi les roses de ta robe, Trop lâche pour reconquérir Le royaume qu'on me dérobe." Stuart MERRILL
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